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Joucou
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Le lavoir de Joucou
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Restes de
l'église abbatiale Saint Jacques de Joucou
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Le long du Rebenty
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mardi 24 mai 2011
De Labeau à Puivert par la variante 27 Km
Grand silence dans le gîte, Patrice, encore couché, nous a préparé, avec soin, un petit déjeuner. Nous avons fixé le départ à 6H50. Nous suivons scrupuleusement les instructions laissées par la photocopie de la carte au 1/25000. Il s’agit de redescendre la route jusqu’à la cote 645m et prendre Chalabrette par un chemin qui très rapidement passe près d’une ruine et monte par une pâture jusqu’en son sommet. Là, il faut prendre à gauche (nous sommes partis à droite et avons erré quelque peu sur un sentier qui nous a proposé une rencontre chevaline…Cette sente se terminant d’une manière diffuse il a fallu rebrousser chemin). Finalement le sentier assez large au départ se poursuit sous bois avec des parties humides. Il fait frais et blague à part, nous lui devons une fière chandelle à Patrice. Son itinéraire bis se révèle agréable, très ombragé et d’aspect pittoresque. Merci !!! Nous passons au hameau bien isolé des Massols et suivons le panneau Taffine. Deux habitations semblent réhabilitées. Nous n’entrons pas dans Taffine et prenons à gauche sous la ligne électrique pour descendre sur le ravissant village de Joucou encore endormi. Nous nous engageons sur le sentier Découverte, sur la rive gauche du Rebenty.
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Sous les Soulasses
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Le défilé de Joucou
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Le lac de Tury
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Les Soulades
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Bordé d’orchidées, c’est un ravissement, avec, en prime, le bruit du torrent que nous traversons par le pont romain. Un peu de goudron par la D107 que nous laissons à gauche pour cheminer un court instant sur la D222 jusqu’à un virage en épingle. Il faut alors monter en suivant un talweg bien prononcé dans le bois, par une sente pour atteindre une large piste sur le plateau. C’est le GR7a. Cette ascension a déclenché un petit creux qu’il faut rapidement combler. Le GR7a qui traverse la partie ouest du plateau de Sault nous amène à Belvis, bourgade où il n’y a pas grand-chose. Il faut continuer le GR7a par une piste sous-bois dans la direction de la forêt domaniale de Callong-Miraille et franchir un col à 1000 mètres. Casse-croûte sympa sur une aire aménagée près du col du Pradel. Des bruits de sabots retentissent près de la maison forestière. Ce n’est qu’une troupe de jeunes amazones qui randonnent sur de beaux « canassons ». Il nous faut maintenant redescendre par la forêt de Tury. Nous passons près du lac où l’on voit quelques gardons et poursuivons la descente. Nous n’avons jusque là, pas souffert de la chaleur grâce au vent et à l’ombre des arbres. Nous nous offrons un ultime instant de repos avant la traversée des Mouillères ; la température va très vite monter sur le chemin de Nébias. A l’entrée du village Marie Chantal porte secours à un vététiste en souffrance, attaqué par un moucheron qui s’est glissé dans son œil salace.
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Vers Nébias
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Troupeau
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Le Château de Puivert
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Puivert
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Qu’il est agréable ce petit café servi par hindou s’extasiant sur notre politesse. La longue piste au-dessus de la route brûle sous nos pas et le point d’orgue reste cette imprévisible grimpette casse-reins qui nous conduit au château de Puivert que nous visitons.
Il est 17H30, la descente s’effectue par le sentier des Troubadours. Il est temps de faire les courses à la seule épicerie du village qui fut jadis un bar. Au menu ce soir pâtes et steak haché avec de la pastèque pour dessert…. Vite une douche et un petit tour dans Puivert. Les Marionnettes veillent sur nous.
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Le gîte
>contact
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Le Blau
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Les Halles
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Un bon petit diable
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